Quelle erreur pour Rosstail, Faust et Nikolaï qui s'étaient réunis pour ouvrir cette porte d'un entrepôt abandonné de Daein, de se retrouver dans un tel endroit. Tous les trois avaient obtenus à l'intérieur d'une lettre cachetée une mystérieuse clé rouillée, sur laquelle était affichée une adresse : celle de ce bâtiment qui se trouvait au beau milieu de Neo Tellius. Une première clé fut utilisée (a vous d'évoquer qui sera celui qui l'utilise) et le trio rentra à l'intérieur du hangar où la lumière n'était pas la bienvenue. A l'intérieur, il faisait froid et humide, et dans un fracas lourd, sitôt que le groupe pénétra à l'intérieur, la porte d'entrée se verrouilla. En fait, ils remarquèrent vite qu'il ne s'agissait pas d'une entrée classique mais plutôt de service : quelqu'un cherchait sans doute à les joindre et leur avaient demander qu'ils se retrouvent ici ? Mais dans quel but ?
Le trio remarqua en face d'eux trois fioles aux bocaux fermés, reposant sur une table. Derrière se trouvait des outils de bricolage : des marteaux, des clous, et même des scies. L'élément le plus intriguant fut une télé qui se trouvait au beau milieu de la pièce, n'indiquant rien de particulier mis à part qu'elle était en veille. Diverses caisses remplissaient les lieux et de nombreux articles de presse étaient dispersés au sol.
Peut être trouverez-vous des éléments sur votre raison de vous trouver ici ? Mais soyez-en conscient : vous allez vivre un véritable cauchemar.
en fait, non, y'avait pas de piège, juste un rideau derrière la porte... Fiouuu.... Soupirant de soulagement, je percu une nouvelle épreuve, et bien sur, encore un truc macabre... Mais là de façon bien plus méchante. Pendant que le type indiquait l'intitulé de ce qu'on devait faire, je venais de voir une caméra... Y'en avait peut-être plusieurs d'ailleurs.
Sauf que, pas le temps de douter. M'étant approché de la machine, Nikolaï cru que je voulais prendre l'initiative de libérer les "innocents"... Ce qui était vrai : j'aurai préféré sacrifier un peu de temps et un peu de sang contre cinq vies.
Il se mit en tête d'appuyer sur le bouton rouge, ne me laissant pas le temps de réagir. Machinalement, je fis tout de même mon action, insérant ma main droite, les ongles tournés vers le bas pour éviter de me les faire arracher -car ça ma magie ne peut pas régénérer facilement- afin d'essayer de les sauver, avec surtout une action combinée: on allait peut-être avoir la clé, mais j'allais peu-être pouvoir les sauver en même temps.
Mon rythme pulmonaire s'accélérait, sous le coup d'un stress énorme... Mais je ne voulais même pas regarder.
Rosstail avait répondu au tac-au-tac, sans stress. Faust confirma que le papier n'était juste qu'un prétexte pour embrouiller le trio. Bref, le scientifique confia la clé au guerrier, permettant au groupe d'avancer vers la prochaine salle. Cette fois, le niveau monta. Derrière le rideau, cinq personnes sur une poutre. Au dessous, des pieux et des rasoirs n'attendaient qu'à être imbibés de sang. Pour sauver les cinq condamnés, il fallait utiliser une machine pour arracher l'ongle et verser le sang dans des flacons jusqu'à être remplis. Sinon, un bouton rouge les tuerait instantanément. En revanche, une clé serait donnée.
Faust ne savait pas quoi faire. Si les innocents étaient sauvés, cela impliquerait qu'il ne resterait qu'une seule clé pour sauver Rosstail ou Nikolaï, sauf d'autres pièges avec une clé en récompense venaient à se présenter. Mais, rien ne garantit qu'il y en aurait d'autres. En effet, cela pourrait être la dernière. Encore heureux que le cornérien avait utilisé sa propre clé au début pour être épargné de la guillotine portative. Cependant, il se sentit concerné par le sort du scientifique et du guerrier, malgré tout. Le bouc hésita encore plus en voyant les cinq personnes qui semblaient de ne pas avoir de lien avec le pantin. Faust mit trop de temps à réfléchir qu'il vit ces deux derniers séparer dans leur coin. Rosstail se sacrifia pour tenter de les sauver. Quant à Nikolaï, il avait décidé de les tuer, en appuyant sur le bouton.
Le natif n'avait pas tort qu'il s'agissait des inconnus. Mais, l'empathie de l'anthropomorphe ne pouvait pas s'empêcher de lui reprocher son égoïsme. Seulement, le passé est passé. Se préparant mentalement au pire, Faust observa le résultat final et de prendre la clé si le choix de tuer avait été décidé par le jeu.
Ainsi, les trois prisonniers du jeu macabre avaient réagit rapidement, en voyant le dilemme qui s'offrait a eux. Tous, à l'exception de Faust qui n'arrivait pas a prendre de décision. Néanmoins, ce manque de communication avait donné deux réaction bien distinctes. D'un coté, le Docteur avait pressé le bouton rouge pour sceller le destin des cinq innocents, alors que Rosstail avait décidé de sacrifier ses doigts pour sauver les 5 vies qui se tenaient sur la poutre. Hélas, pour lui, Nikolaï fut plus rapide, ayant appuyé sur le bouton, bien avant que la main de Rosstail ne finisse dans la machine salvatrice. Il put d'ailleurs remarquer que cette dernière ne s'allumait pas.
Une lumière rouge ainsi qu'une alarme résonna dans la pièce des cinq condamnée, ses derniers comprirent que leur destin était scellé. Ils se mirent aussitôt à hurler à travers leurs baillons, pleurant et paniquant, avant que les poutres ne descendirent d'un seul coup, plongeant les victimes dans un gouffre de pointes et de lames. La mort était maintenant inévitable pour eux. C'est alors qu'une clef tomba au centre de la pièce, comme prévu. Néanmoins, la télé se ralluma. Un écran toujours noir en guise de visuel et cette seconde voix féminine avec cette cérémonie religieuse en fond mettaient mal a l'aise les trois prisonniers.
Sacrée réaction, que voilà ! Je ne vous pensais pas capable de prendre une décision si rapidement. Néanmoins, réfléchissez un peu plus la prochaine fois. Je vous ai dit que ces 5 innocents étaient des personnes influentes sur Horuna dont les décisions avait plusieurs fois sauver la vie a des milliers d'innocents ? Leur mort scellera sûrement le destin d'innombrables familles. Mais, il semblerait que cela ne vous touche pas ~
Soudainement, du gaz apparut une nouvelle fois dans la pièce, cette fois-ci, en plus grande quantité et embrumant rapidement toute la pièce. Le premier réflexe des trois prisonnier fut sûrement de se couvrir la bouche...avant de rendre compte que le gaz avait une odeur de fraise et de banane.
Je vous ai eu ♥ Cessons de plaisanter mes enfants... l'heure du jugement final approche à grand pas ! Êtes-vous prêts ? Car, c'est maintenant que tout devient intéressant ! Êtes-vous prêt pour l'ultime sacrifice ?
La porte s'ouvrit, peu après que les trois héros utilisèrent une des deux clef en leur possession. Derrière la porte se trouvait une salle avec trois autres portes. Leurs noms étaient marquées sur chaque porte, les invitants tous à rentrer dans la salle qui leur était dédiée. La porte se referma a clef d'elle-même. Face a eux trois se trouvait la même chose : un tableau de commande avec deux bouton ainsi qu'un large orifice, les règles de ce nouveau jeu était simple et la voix leurs expliqua calmement ce qui les attendait.
Voici le dilemme du prisonnier ! Vous avez deux boutons en face de vous. Sur chacun des boutons, vous pouvez voir le visage de l'un de vos deux compagnons. Ici, le but est de simplement...sacrifier vos camarades ! Votre rôle est de presser un des deux bouton pour voter et de mettre votre bras dans le compartiment à coté pour valider le vote. Vous avez donc deux possibilités ! Soit, vous sacrifiez l'un de vos amis. Soit, vous ne votez pas... Si vous votez quelqu'un sans vous faire voter, vous êtes libre de partir d'ici. Mais, votre camarade restera enfermé, le temps que je m'amuse avec... Si vous votez quelqu'un et que quelqu'un vote pour vous, la machine se chargera d'arracher votre bras avant de vous libérer ! Néanmoins; si vous ne votez pas et que personne ne vote pour vous, vous perdrez simplement un doigt... Heureusement je ne suis pas un monstre. Les micros en face de vous vous permettront de discuter avec vos partenaires. Mais, vous ne connaîtrez pas leurs décisions ! Qui sait, peut-être qu'un traître se cache parmi vous et n'attend que ça : vous poignardez ! ♥
Et ainsi la communication se coupa...laissant les trois amis face à un cruelle dilemme ! Quelle serait leurs choix ?
J'étais arrivé trop tard... Pour une fois que je prenais une décision ne me concernant que très peu, il a fallut que Nikolaï l'atteigne avant moi... Je les entendais gueuler et chialer, j'ignore même s'ils nous ont vus. Ne regardant même pas au travers de la vitre, je regardais les deux autres, les yeux tremblants non pas de tristesse, mais de colères multiples. Faust pouvait entendre tout ce que je me disais dans ma tête sans aucun soucis, mais j'en avait rien à foutre.
Je n'étais pas en colère contre moi-même, j'ai pris la décision que je voulais, j'ai juste été trop lent.
Je ne peux pas en vouloir à Nikolaï non plus, il voulait sauver sa peau, c'est normal.
La générosité c'est pas mon truc, mais j'ai un minimum d'âme. Je peux dire que le type qui fait ça, emprisonner des gens pour les faire crever, il n'a pas le droit de reprendre qui que ce soit sur sa méprisante des autres ou plutôt de sa survie personnelle.
Restant silencieux, je suivi Faust et Nikolaï, me dirigeant dans la salle à mon nom. Un bouton, deux, et un endroit pour sacrifier son membre, d'après la salope dirigeant ce jeu. La porte était fermée à clé, mais j'en avait rien à foutre. Mon plan, J'en ai pas. J'en ai plus, je vais juste...
- Ecoutez moi bien, bande de salopes. Je vais sacrifier personne, juste utiliser les modalités que vous n'avez pas dis pour me libérer du collier de sadomaso, me sortir de cette salle, libérer mes potes, bousiller le jeu que vous avez prévu avec tant de minutie, exploser votre petit coin de paradis, retrouver vos sales gueules d'endives, éclater chacun de vos petits os de tafioles que vous êtes, vous couper les couilles à la pince et rentrer une barre en métal dans le cul, avant de vous envoyer en enfer en vous coupant chaque membre sans cautériser la plaie !
Vous sentez la colère monter au fur et à mesure dans mes mots ? Je ne sais même pas si je les pèse. En tout cas, fallait pas me faire chier autant, car LA, chers maîtres de jeu, je vais réduire en tas de merde tout votre scénario, ainsi que votre existence. Regardant dans vos posts au rp, je vois que cette fois, la porte est fermée à clé mais rien n'indique qu'elle est incassable. Le collier non plus d'ailleurs, et pis je m'en balance: je vais tout faire sortir de ces gonds, moi compris.
- PRÉPAREZ VOTRE FUITE OU VOTRE ANUS CAR JE VAIS VOUS FAIRE PASSER UN SALE. QUART. D'HEURE.
Sur ces mots, et pour la première fois de ma vie, je n'hésitais pas une seule seconde à bien montrer ma colère faire son travail. Sortant mon sabre laser, je déployais la lame en donnant un énorme coup dans le mécanisme servant à risquer son bras, afin de bien montrer que je vais pas me défouler, avant de percuter la zone mécanique du collier d'un coup de sabre bien ajusté, avant de me retourner vers la porte pour lui donner une myriade de coup bien plus violents qu'un impact chez Carglass. Non, là vraiment, je brise le quatrième mur, votre rêve, ainsi que ce cauchemar.
En fait, je suis le cauchemar, bien joué bande de cons.
Nikolaï se fichait des gens tués. Il avait déjà tué des gens de ce genre, de toute façon.
Mais il avait surtout remarqué que ses deux alliés semblaient se fatiguer du jeu, surtout Ross.
Lui aussi était fatigué. Il allait tout faire pour arrêter le jeu. En attendant, il entra dans la cabine, pour voir le prochain jeu proposé.
La même voix leur donna les consignes, mais quelque chose en lui... l'embêtait.
Il avait une envie soudaine de tout ravager.
De consumer les responsables de ce petit jeu dans les flammes.
De leur faire payer.
Ses attributs de lion, ses oreilles et sa queue, sortirent de leur cachette, au fur et à mesure.
Nikolaï avait même entendu un étrange bruit venant de plus loin. Est-ce que quelqu'un se rebellait et commençait à vouloir briser les règles du jeu ? …
D'un coup, sous l'envie de fuir et de vengeance, il changea de forme, passant totalement de sa forme humaine à sa forme lion. Sa fourrure brûlante et le changement de taille mettait vraiment le collier à rude épreuve... Voir même à quelques secondes de se briser, si ça se trouve.
Sans attendre, le lion fonça d'un coup sur la porte pour la percuter.
Encore.
Encore.
Encore.
Dès qu'il serait sorti, il irait aider Faust.
Mais sa forme lion révélait une sorte de colère noire qu'il utilisait pour s'attaquer à la porte.
Plus aucune pitié. Nikolaï rugissait violemment, suivant seulement ses instincts d'animal, ne souhaitant que de ressentir sur ses pattes la douceur du sang chaud, qui coulerait directement du sang des responsables.
- Rrr...ROAAAAR ! Je vous tuerais ! UN PAR UN, CHACUN D'ENTRE VOUS ! Je vous ne laisserais même pas la douce mort vous emporter... Je vous ferais subir chaque atrocité possible jusqu'à ce que vous me suppliez DE VOUS ACHEVER !
Une fois la porte défoncé... Il devait se débarasser de celle qui bloquait Faust. Il commença sans tarder à attaquer cette porte.
L'inévitable se prépara. Les cinq prisonniers se retrouvèrent empalés, malgré eux. Faust gardait son calme. Mais, il ne pouvait pas empêcher de méprendre intérieurement les responsables du jeu macabre. Le pire, ces victimes n'étaient pas n'importe qui. En effet, c'était des personnes ayant beaucoup de notoriété à Horuna. Faust estima heureux que Lola Belle ou le père d'Elspeth ne faisaient pas parti du jeu, même si pour ce dernier, il enviait parfois de taper le politicien. Bref, ils avancèrent vers la nouvelle salle où un gaz s'échappa de nouveau. Une chance que ce gaz n'était pas soporifique. Cependant, le trio devrait passer une dernière épreuve.
Faust entra dans la salle marquée réservée à son nom. La porte se referma. Il était face au fameux "dilemme du prisonnier". La règle était simple : coopérer ou trahir. Le choix fut facile pour le cornérien. Après tout, il connaissait les deux personnes. Avant de mettre son bras, il aimerait connaître quand même l'avis des autres. Seulement, ses compagnons choisirent une voie plus exotique. Ils avaient déclaré la révolution au jeu. Ces cris avaient secoué l'esprit de Faust. Du moins, il eut presque l'effet d'une gifle après un mauvais pas.
Le bouc entendit un coup de sabre ainsi qu'un rugissement. Un rugissement ?! Il suffisait que la porte de l'anthropomorphe céder pour que ce dernier remarqua un lion briller via sa fourrure brûlante. Faust n'avait jamais vu cet animal. Mais, le fait qu'il ait délivré l'étudiant, le bouc pensa que la créature était de leur côté. Marchant lentement hors de son urne de vote, le cornérien constata que Nikolaï était absent.
-Ni... Nikolaï ?
Faust resta paralysé devant ce retournement de situation. Au final, il esquissa un sourire. Certes, le trio était encore dans l'entrepôt. Mais, au fond, le bouc ressentit une lueur d'espoir. Qui sait, ils feraient le tout pour arrêter la mascarade et de ne plus utiliser un millilitre de sang, qu'ils étaient Héros ou innocents.
-Je rejoins votre cause. Tuer des gens pour un jeu ne me ressemble pas. Hors de question que je me fasse baiser par un pantin qui me dit que je me fous des horuniens, alors que je me suis fait des amis. Au fait, merci d'être là. Sans vous, j'aurais obéi aux règles les yeux fermés. Je n'aurais jamais osé de me rebeller seul. A vrai dire, je manque de confiance en soi.
Ainsi rien ne se passait plus comme prévue, l'instabilité des trois héros les avait poussé au craquage nerveux, en effet les trois cobayes de cette horrible épreuve qui ne semblait jamais ce terminée avait finit par se rebeller. Rosstail détruisant le système et ses boutons avant de s'attaquer a la porte qui ne put tenir bien longtemps alors que du côté du professeur, sa forme bestiale avait facilité la destruction de la porte de métal suivi de celle de Faust. Tout partait de travers et leur rébellion leur fit sortir de leur prison d'acier. Néanmoins des lumières rouges suivit d'une alarme résonna dans toute la pièce, la télé affichait de la neige accompagner de son fidèle bruit électronique et ce n'est qu'une minute après qu'une porte dérobée s'ouvrît aux milieux du mur alors que les haut-parleurs répétait inlassablement
Derrière la porte dérobée, un long couloir les attendait, couloir assez étroit cela dit en passant ce qui força le professeur maintenant devenue bête à se coller contre les murs. À force de marcher les trois compères arrivèrent à un escalier d'acier qui descendait, néanmoins à peine avait-ils descendu les premières marches que ces dernières s’aplatirent se transformant en véritable toboggan débouchant sur... Un trou ! Ainsi, les trois héros tombèrent pour se retrouver dans une très grande salle fortement éclairée. Sur le sol, un étrange symbole était peint et face a eux se trouvait une énorme vitre indestructible où ils pouvaient voir la responsable de leurs tourments.
Mes enfants...Pourquoi avez, vous abandonner ce jeux qui m'a prit tant de temps a crée ?! Ce petit jeu ludique n'avait que pour seule fonction de vous apprendre comment fonctionne le monde ! Il devait vous ouvrir les yeux et vous montrer la vérité ! Mais bien sûr vous avez laisser la corruption de vos esprits prendre le dessus ! La simplicité de votre manière de penser ainsi que les notions absurdes qui vous guide... Je savais bien au fond de moi que les Hérétique de votre genre ne pouvait être sauvée, néanmoins, j'ai voulu tenter l’expérience et voilà qu'au final vous détruisez tout... Ce n'est pas grave vous savez... Si vous ne pouvez aider le seigneur de vos prières, vous l'aiderais en temps que sacrifice ! GLOIRE A YOZX !!!
La femme qui leur faisait face avait les yeux bandés, de court cheveux blanc ainsi qu'un long vêtement noir cérémonial, assied sur un trône d'acier sombre elle était accompagnait d'une foule de personnes en tunique noire qui ne cessait de réciter les chants religieux que les trois compères avait entendu plusieurs fois auparavant.La Grande Oracle car tel était le nom qu'on lui donnait appuya sur un simple bouton sur son siège ce qui fit sortir trois cultiste plutôt, l'un était armée d'un katana, le second d'une lance et le troisième de deux dagues, les trois combattant dispérsérent les trois héros, l'homme au sabre affronta Faust, celui a la lance voulut profiter de son allonge pour combattre le Docteur et enfin le manieur de dague s'acherna sur Ross.
Il semblait que la petite rébellion ait fonctionné comme prévu.
Après avoir ruiné l'épreuve, Ross, Faust et Nikolaï avaient pu s'enfuir par un couloir très étroit. Évidemment, à cause de sa colère le dévorant de l'intérieur, il n'avait pas la capacité de revenir sous sa vraie forme.
Mais après tout, ce n'est pas si mauvais si le danger continue de les poursuivre.
Après tout, ils sont encore dans cet enfer. Un enfer que Nikolaï compte bien ruiner de toute pièces. Quelque chose qui a de même sûrement été incrusté dans la tête des deux autres l'accompagnant.
Le calvaire n'était malheureusement pas terminé pour eux :
ils chutèrent tous les trois, avant de comprendre enfin ce qui s'était passé.
Les mots de cette maudite oracle, toute cette performance...
… pour ça ?
Clairement, le scientifique n’appréciait guère cette situation.
Après tout, l'intensité de la chaleur et de la lumière qui se dégageait de sa fourrure était grande, reflétant sa colère intérieur, qui ne voulait que terminer la vie de tout ce monde, fidèles, innocents, et surtout celle de l'oracle.
Son vœu se fit d'ailleurs exaucé : son 'repas' était servi, composé de trois personnes bien aveugles et stupides comme leur leader.
- Votre YOZX n'existe pas ! Vous êtes AVEUGLÉE dans tout les sens du TERME. Mais ne vous inquiétez pas, vous qui êtes ses pathétiques fidèles... J’ACHÈVERAIS VOTRE MISÉRABLE EXISTENCE DE CE MONDE, JE VOUS MONTRERAIS A QUEL POINT VOUS ETES STUPIDES DE SUIVRE CETTE PAUVRE FOLLE ! Le lion rugissait soudainement avec force, la chaleur accumulé rendant la salle chaude comme une véritable fournaise.
Cependant, il n'attaquait pas directement son adversaire.
Mieux, il avait une bien meilleure idée, pour les faire tous brûler jusqu'au dernier morceau de peau ; que ce soit son adversaire, les autres fidèles, voir ses coéquipiers si ils ne faisaient pas attention.
Sa fourrure se mit à nouveau à briller d'un rouge bien plus "coloré" qu'avant pour sa crinière, et de blanc pour le reste, augmentant assez fortement la température à ses côtés. Il commença à se secouer la crinière et la queue fortement, dissipant lentement mais sûrement de jolies cendres rouges, oranges, jaunes et blanches dans toute la salle, produisant un joli bruit dans l'action et une jolie vue, mais restait tout de même quelque chose de dangereuse. Quelque soient les actions de ses coéquipiers, il n'attaqua pas directement, préparant la salle à son attaque générale.
- Vous brûlerez dans les flammes... PRÉPAREZ-VOUS A PAYER VOTRE STUPIDITÉ TOUTE ENTIÈRE !
Putain, z'avez tellement foutu Ross' en colère que maintenant je vais devoir faire la narration à sa place, z'êtes pas cool...
Enfin bref. Tandis que notre gaffeur en rogne démolissais votre porte, le matériel et surtout ce qui le retenait en otage, Nikolaï fit de même avec une force déconcertante: il avait du manger du Lion pour rugir comme ça.
... Rugir ? Oooh putain...
Après d'inlassables coup complètements mis au hasard sur la porte, Rosstail pu enfin ouvrir une brèche suffisamment grande pour s'en sortir, mais ne se posa aucune question lorsqu'il vit le professeur dans cette forme peu banale, après tout y'a Faust à libérer et il est pressé d'aller casser la figure à tout le monde. Après avoir massacré la porte, Faust pu à son tour se sortir de cette foutue sale. Ne reconnaissant pas facilement le professeur, il se mit ensuite à faire un discours que Ross' n'écouta même pas et préférait sprinter vers la porte nouvellement ouverte sous les lumières rouges et l'alarme générale qui venait de retentir.
Courant comme un dératé, la bave au coin de la bouche en tenant sa hache et son sabre laser, les yeux écarquillés montrant une certaine et rare envie de meurtre, il fut cependant déséquilibrée comme ses compagnons par les marches qui se transformèrent en toboggan géant. La glissade fut longue et l'arrivée fracassante. Mais au moins, dans cette salle incassable bien improvisée par le MJ, tout le monde pu voir qui venait de foutre la merde, encore une fois dans la vie de nos trois protagonistes.
- Mes enfants...Pourquoi avez, vous abandonner ce jeux qui m'a prit tant de temps a crée ?! Ce petit jeu ludique n'avait que pour seule fonction de vous apprendre comment fonctionne le monde ! Il devait vous ouvrir les yeux et vous montrer la vérité ! Mais bien sûr vous avez laisser la corruption de vos esprits prendre le dessus ! La simplicité de votre manière de penser ainsi que les notions absurdes qui vous guide... Je savais bien au fond de moi que les Hérétique de votre genre ne pouvait être sauvée, néanmoins, j'ai voulu tenter l’expérience et voilà qu'au final vous détruisez tout... Ce n'est pas grave vous savez... Si vous ne pouvez aider le seigneur de vos prières, vous l'aiderais en temps que sacrifice ! GLOIRE A YOZX !!!
La Grande Oracle, telle est son orthographe [Qui frappa le narrateur à cet instant], n'avait pas la moindre idée de la connerie qu'elle a faite: non parce que tuer quelqu'un qui tue des gens, ok, mais faire tuer des gens ou le découper en morceau quand il a rien à foutre des trois quarts d'une population - sachant que tout le monde n'a pas forcément d'intérêt pour tout le monde non plus, hein- , c'est quand même assez douteux comme raisonnement... Mais bon. Il y avait un drôle de signe sur le sol, ressemblant à un sceau magique ou divin, ou hérétique, mais c'est pas évident quand on a un ninja sur le dos.
En effet, trois petits larbins venaient de poper dans la salle. Un lancier sur Faust, un samouraï sur Nikolaï et un ninja armé de deux dagues contre Ross', autant dire que le combat débuta fort entre chacun des duels. Le Ninja porta deux coups sur Rosstail qui tenta de parer l'attaque [Dé 1 et 2], avant de rétorquer par un lancer de hache plus que violent vers son crâne, accompagné d'une charge à l'épée laser, augmentant par ailleurs l'allonge de notre ex-Caporal. [Dé 3 et 4]
L'échange fut pour le grand avantage du ninja: Décochant une dague, Ross' se la prit en plein cœur, restant plantée dans son corps, suite à une parade un peu trop confuse de sa part: la conséquence pour un hyllien sans cœur n'est pas fatale, mais ça montre à quel point ce type est doué... Ou de voir à quel point Ross' pète un câble et ne sait plus manier quoique ce soit, à vous de voir.
- Graaaaaahhh !!!
Il réussi cependant, et de justesse à dévier la seconde dague du plat de sa hache, avant d'effectuer un joli lancer sur le ninja de cette même arme, qui le blessa légèrement mais c'est toujours ça de prit. Toujours sous l'effet de cette colère intense, il fit une charge facilement évitée par son adversaire, finissant sa course dans le mur, de quoi le secouer un peu dans sa tête, en lui faisant bien mal à tout le bras droit vu le choc.
Le trio était enfin sorti de leur urne. Seulement, à peine brisé les règles du jeu, l'alarme se mit à retentir. Le lion et le guerrier furent sous l'effet de rage qu'ils se précipitèrent, sans faire attention où ils allaient pour passer un savon aux responsables. Faust essaya de les suivre, sans émotions explosives, même si l'envie de calmer ses compagnons lui tenait. Plus le bouc avança en profondeur dans le couloir, plus il stressait. Du moins, le cornérien avait un mauvais pressentiment. C'est quand les escaliers se transformèrent en pente que Faust se mit à sursauter. Les trois compères atterrirent dans une salle où un symbole ressemblait à celui d'un rituel.
La voix qui avait pitié au trio de ne pas avoir joué le jeu en entier, ainsi que le champ lexical religieux parut familier pour le bouc. Le pire, il l'avait connu récemment. La dernière phrase fit un déclic au cornérien qui ressentait sa colère monter. En se tournant vers la personne ayant organisé tout cela, Faust n'avait plus de doute.
-T... Toi ?!
Il reconnut la grande oracle où ce dernier avait passé un sale quart d'heure avec elle. Ainsi donc, ce jeu serait une sorte de seconde tentative à ce que le cornérien la rejoignait à la cause de celle-ci. Faust eut un malaise à l'idée de se rebattre contre ses nombreux alliés. En revanche, il pouvait compter sur Rosstail et Nikolaï qui semblèrent plus taillés au combat que le bouc. Trois des fidèles entrèrent dans la salle pour occuper chacun des prisonniers.
-T'as d'la chance que Méphistophélès t'ait épargné. En tout cas, ma réponse est toujours non !
Même le félin et le demi-elfe refusèrent de s'allier à Yozx. Aussitôt, le sabreur qui était face à Faust fonça sur son adversaire avec sa lame. Le cornérien légèrement effrayé forma une croix avec ses bras pour invoquer un bouclier lumineux. L'anthropomorphe tourna son bouclier face aux coups d'épées. Par chance, l'homme au katana fut moins agile que Blake et Nishaï. Seulement, Faust partait avec un grand désavantage, dans la mesure où il avait montré tout son arsenal à la papesse. Ou presque. En effet, en observant le lion enragé en train de répandre de la poudre, le cornérien se disait qu'il avait intérêt à sauver sa propre peau, plutôt que de devoir s'amuser à s'occuper de son ennemi. D'ailleurs, cette situation arrangea beaucoup l'anthropomorphe.
Quand le sabreur baissa sa vigilance, Faust profita pour lancer une comète brillante, d'aveugler temporairement son adversaire, et si possible, l’assommer. Avec le temps gagné, le bouc s'accroupit avec ses quatre pattes au sol. Il ferma ses yeux, tout en retenant sa respiration. Puis, une vague de froid envahit sur dans corps. Même si la salle monta de température progressivement, Faust grelotta, sans trop bouger. Plus tard, ses poils se mirent à durcir et son apparence prirent une couleur grise, au point de ressembler à une gargouille. L'inconvénient de cette carte qui permettait à Faust d'encaisser facilement tout dégât pendant quelques secondes : il fut dans un état de transe qu'il était impossible pour le cornérien d'interagir avec ses amis ou encore faire le moindre mouvement.
La femme responsable de leurs fléaux souriait en voyant les héros céder à la colère, restant les bras croiser dans son trône alors que les cultiste continuait leurs louanges envers Yozx, elle écouta attentivement les propos du docteur devenue bête, ce dernier libérait d'ailleurs une étrange poudre incandescente dans la salle, ne risquait il pas de blesser ses compagnons ? À vrais dire, l'Oracle s'en moquait, car ce qu'elle souhaitait maintenant, c’était la mort de ses trois hérétiques. L'homme armée de sa lance se rua sur le professeur en prenant bien soin de ne pas se faire frapper en retour, le harcelant de sa lance afin de le tuer a petit feu il tentait donc de le planter a moult reprise.
Du coter du ninja, ce dernier affrontait Rosstail avec toute sa force et ses convictions, d'ailleurs le combat contre lui était assez intéressant car pour le moment leurs forces était équivalente, les deux se frappaient mutuellement s'occasionnant de bon dégât, mais malgré la technique afin de mettre son adversaire hors d’état de nuire, le cultiste ninja se releva et enchaîna ses attaques a nouveau comme pour lui montrer qu'il n'abandonnerait pas de sitôt. Faust quant à lui bloqua les coups de sabre de son opposant. D'ailleurs, les propos du Cornérien avaient fit rire l'Oracle qui avait simplement répondu M'épargner ? Tu crois vraiment que ton petit tour de la dernière fois n'a pas eu raison de moi par hasard ? Ton Mephistopheles est grand certes, mais que pouvait-il faire face à la volonté de Yozx ?! Sa volonté seule a ordonné à ton camarade de me relâcher et il n'a pu qu’obéir pauvre inconscient !
Le sabreur fut aveuglé quelques seconde et quand il put reprendre ses esprits, il constata que son opposant était devenue aussi dur que la pierre et aussi froid que la glace, constatant rapidement que ses frappes n'avais aucune efficacité sur son adversaire, il se retourna vers Rosstail et tenta de l'empaler par derrière alors qu'il était occupé contre le ninja.
Que s'est il passé depuis le dernier échange de coups à l'intérieur de la salle ? Pas grand chose. Faust se transforma en statue de granit marquée “AFK” au dessus de sa tête tandis que Nikolaï remettait de la poudre qui se répandit dans la salle. Le lancier effectuait ses mouvements de tapette en harcelant le prof Lion de loin tandis que Ross’ et le Nina s'échangeait des mandale armées aussi importantes qu improbables, se balançant leurs armes dans la figure ou en se rentrant dedans, autant dire que nous avions un beau spectacle.
Le combat aurait eu un semblant de répétition à force si l’épéiste endoctriné n’avait pas remarqué l’AFK de Faust, pour finalement changer de cible, C’est à dire l’ex-caporal. Tentant de lui planter l'épée dans le dos, Il n'avait pas bien vu que notre gaffeur avait gardé son bouclier dans le dos, qui lui permit de se protéger très efficacement contre l'épéiste alors qu'il voulait regarder derrière lui comment tout le monde se débrouillait. En retour, Ross' foutu une taloche au gars avant de se préparer à un combat inégal.
En même temps que mon personnage se retrouvait seul contre deux, la connasse derrière la vitre se la pétait en s'emmelant les pinceaux dans son discours. La bataille est à son comble, préparez vous à un final aussi explosif que la température qui monte actuellement dans la salle, chauffant encore plus à Rosstail l’idée de faire une attaque bien improbable dont il a le secret aussi bien gardé que notre cher Panoramix.
Le ninja fonça vers lui à une vitesse effrénée, montrant à quel point il voulait se faire maraver de mon point de vue et porta un coup efficace sur le flan du soldat avant de faire s’éloigner de nouveau.
Complètement déchaîné, Rosstail sorti sa canne à pêche après avoir rangé son sabre laser et son épée. Il saisissait sa hache et sa canne à pêche, Il attrapa l’hameçon de cette dernière au manche de sa hache…
Il venait de créer une sorte de fléau d’arme d’une portée bien étendue, de quoi atteindre le Ninja tout en récupérant son arme facilement après. Sauf que pourquoi cibler quand en faisant n’importe quoi on peut tout péter ? C’est ce qu’ilbse disait en faisant tourner son bras à haute vélocité et allongeant de plus en plus sa portée, tentant de balayer l’épéiste et le ninja qui avaient vu le coup venir et l'on facilement évité, Ross' se prennent un retour de plat de hache en plein visage qui lui déplut au plus haut point. Le soldat, même avec la douleur, ne se laissa pas distraire et mobilisation toute sa concentration pour effectuer à sa vitesse maximale un saut, lever son arme avant de tenter de porter un puissant, écrasant et juste… très violent sûr le ninja dont il en avait sa claque, et atteignit sa cible de façon juste mais efficace.
Pendant que Nikolaï rependait la poudre rouge dans la pièce de grand mouvements, le lancier tenta de l'attaquer de coups de son arme. Si quelques uns arrivaient à le couper, d'autres n’aboutissaient pas du tout à cause des mouvements aléatoires du lion, mais aussi de la présence de la poudre qu'il produisait de plus en plus. Sa fureur grimpait rapidement avec la température, rendant le lieu presque difficile à respirer dedans mais aussi à tenir avec la chaleur. Seul Nikolaï arrivait à supporter, mais c'était en échange de son propre contrôle car seule la colère était présente dorénavant.
Continuant de disperser la poudre, Nikolaï regardait une dernière fois ses collègues. Faust eut l'intelligence de se préparer à ne rien recevoir en se transformant, mais Rosstail était en train d'avoir affaire à deux sbires au lieu d'un. Sauf qu'un autre danger était aussi présent, et pire que les sbires : les explosions.
Voyant le danger dans lequel Ross risquait de prendre de sérieux dommages, Nikolaï lui lança une ultime alerte.
- ROSS, A COUVERT !
Immédiatement après, Nikolaï piqua un sprint vers le centre de la salle, sa gueule prenant une lueur orange...
- ALLEZ BRÛLER, MISERABLES !
… Et il provoqua une étincelle dans sa poudre volatile d'un claquement de dents.
La réaction ne se fit pas attendre une seule seconde :
La salle se remplit d'explosions en chaînes, explosant par-ci par-là au hasard dans la salle. Nikolaï, malgré ces explosions, regardait l'oracle derrière sa vitre d'un air défiant, après tout, c'était elle qu'il voulait tuer, les autres ne valaient rien. Les explosions ne l'affectèrent pas, car elles étaient ses créations, mais il s'inquiétait très très légèrement pour Ross qui n'était absolument pas protégé pour ce genre de chose.
Rapidement, le bruit et les réactions cessèrent, laissant la salle presque brûlante et couverte de traces de brûlures. Le lion resta sur ses gardes, au cas où l'un des ninja aurait réussi à résister ne serait-ce qu'un peu au choc.
Dés:
[Lancer de dé pour les dégats // Explosions]
Dé action 1 : Homme à la lance Dé action 2 : Homme au sabre Dé action 3 : Homme aux dagues Dé action 4 : Ross
La transformation temporaire de Faust protégea ce dernier du souffle de l'explosion, malgré quelques petites fissures qui pourraient lui faire revenir à son état normal si le bouc subissait trop de dégâts importants. Quelques minutes plus tard, la pierre solide redevint rapidement du cuir et des poils. Le cornérien respira bruyamment, avant de tousser fréquemment. Il eut l'impression de ressortir d'une longue plongée en apnée.
Faust observa la salle sous les cendres, tandis qu'il se souvint de ce qui s'était passé. Le cornérien se souvint qu'il fut extrêmement agacé d'entendre la grande oracle tout porter sur Yozx, même si le prince des Enfers n'avait sans doute aucun lien avec l'autre entité. Elle semblait vivre Yozx, dormir Yozx. Bref, l'anthropomorphe eut sa dose. Il avait envie de la rendre muette, comme lui. Seulement, il fallait déjà sortir de ce lieu. L'occasion allait peut-être se présenter un autre jour. Sinon, Faust se rappela qu'il avait durcit son corps contre l'explosion provoqué par le lion. A vue d'oeil, il y avait de gros dégâts que même Rosstail ne s'était pas préparé au coup. En revanche, le sabreur qui devrait être supposé son adversaire s'était tourné contre le demi-elfe puisqu'il ne pouvait pas taper la statue facilement.
Malgré les tentatives de Rosstail pour gérer les deux ennemis, Faust l'aida en levant son bras en l'air. Une brèche lumineuse s'ouvrit au plafond, au-dessus du sabreur. En abaissant son bras, une deuxième comète lumineuse depuis la brèche apparut pour aller écraser la tête de son ennemi.
Dé Normal : Comète lumineuse Si Parfait : La comète dans la gueule de l'ennemi. Même effet qu'un coup de massue de... 1000 tera tonnes (1000*10^12 si vous préférez). Si Bien : Allez hop ! La comète dans la gueule du sabreur qui a le même effet qu'un coup de massue de 100 tonnes. Si Rate : Dominus ! Gorgeous ! Non-ah ! Bref, à part avoir un effet cosmétique sur le sabreur, pas d'effet en particulier. Si Euh... : Ross' se prend la comète. Oups !
Le combat des trois héros contre les trois guerrier de L'Oracle prenait une tout autre tournure, alors qu'au début ce combat s’avérait compliquer, Nikolai sous sa forme bestial donna un tournant majeur a l'affrontement, sa poudre ardente s'enflammant au contact de sa gueule venant embraser la salle d'un torrent de flamme et d'explosion plutôt impressionnant qui vint faire trembler la vitre indestructible qui les séparait de L'Oracle et de ses fidèle toujours en train de prier leurs divinité. Bien qu'aveugle la Grande Oracle ressentait la chaleurs des flammes aux travers de la vitre et une fois que les flammes disparurent tous put constater les ravages d'une telle attaque. Deux cultistes était au sol, le corps fumant recouvert de brûlure, Ross par sa constitution particulière s'en sortie malgré d'importante brûlure et seul un cultiste restait debout, le regard déterminé il était prêt a en découdre même a un contre trois.
Cette détermination sans faille provenant de leurs foi déraisonnable faisait de ses fidèles de tenace guerrier, hélas il ne put rester debout bien longtemps car une comète d'une puissance spectaculaire le heurta de plein fouet explosant son crane et ne laissant qu'une marre de sang autour d'un corps sans tête. Une telle violence n'était peut être pas nécessaire surtout envers un adversaire bien amochée, néanmoins l'agacement de ses trois héros était assez compréhensible. Le Symbole religieux était toujours gravée au sol et bien qu'aveugle La Grande Oracle resta sur son singe a regarder les trois combattant qui ne semblait pas vouloir mourir.
Vous êtes tenaces...Votre combativité est remarquable je l'admet, moi qui voulait profiter du spectacle en vous regardant vous faire dépecer ! Vous n’êtes même pas capable de m'offrir un divertissement satisfaisant ! Les Hérétiques sont vraiment ennuyeux...A ce rythme la vitre ne vas pas tarder a ce briser et je ne suis pas folle au point de rester la quand elle sera détruite...Je suis désoler pour vous mais notre réel affrontement n'est pas encore arrivée, essayez donc de survivre a cette dernière épreuve et sortez dans les temps si vous désirez vous vengez !
Appuyant sur une série de Bouton, L'Oracle ouvrit une grande porte derrière elle qui semblait être la sortie, tout les cultistes cessèrent leurs prière et commencèrent a sortir de la pièce qui commençait a trembler, la vitre qui semblait indestructible avait de nombreuse fissure causée par l'attaque du Docteur, les héros devront s'acharner encore un petit moment sur cette dernière pour pouvoir la détruire et sortir de cette prison, néanmoins une nouvelle porte s'ouvrit dans leurs pièces alors que La Grande Oracle leurs adressait un dernier "regard" avant de se diriger a son tours vers la sortie. Un pantin sortie de cette pièce et semblait bien plus dangereux que les trois guerrier récemment combattu. Toute la pièce tremblait le plus en plus, quelque pierre commençait a tomber. Le lieux était sur le point de s'effondrer et les Héros semblait n'avoir que 30 minutes avant d’être ensevelie sous des tonnes de roche et d'acier. Le Pantin dont la voix etait clairement la même que celle qu'ils avaient entendu via les télévisions se prépara a les affronter, l'heure du combat final avait sonner !
Faust ne s'attendait pas à ce que la comète pourrait être aussi lourde, au point de réduire la tête de son ennemi en bouillie. Au moins, Rosstail pouvait être en sécurité. Le cas des trois fidèles semblait être réglé. Cependant, il y avait une dernière épreuve. La salle se mit à trembler, laissant quelques pierres tomber. Faust comprit qu'il restait peu de temps avant que le lieu ne s'effondre. Avec la vitre qui n'allait pas tarder à céder, le bouc savait qu'il suffisait encore un gros coup pour pouvoir rejoindre la sortie et de s'occuper de la grande oracle si elle était encore là-bas. Seulement, un pantin sortit de sa tanière.
-Essayez de briser la vitre. Je vais distraire le pantin pendant ce temps. Mais, avant...
Le cornérien s'approcha de Rosstail pour poser ses mains sur le corps blessé de son ami. Faust émit une aura apaisante permettant au demi-elfe d'être totalement remis de sa forme. Seulement, tandis que l'anthropomorphe soignait le guerrier, le pantin avait sans doute eut le temps de foncer vers le trio. Sans hésiter, le bouc s'interposa. Il croisa ses bras pour créer un bouclier magique (Dé Action 1) pour se protéger contre les dégâts. Blessé ou non, Faust contre-attaqua rapidement en jetant un sort de glace, tandis que Nikolaï et Rosstail eurent le temps de briser la vitre, sans être gênés par l'ennemi (Dé Action 2).
Dé Action 1 : Bouclier d'Uranie Si Parfait : En attaquant, le pantin se prend les dégâts lui-même en se cognant contre le bouclier, l'étourdissant pour un bref instant (+ monter un cran au dé action 2) Si Bien : Faust parvient à se protéger Si Raté : Faust n'a pas le temps de déployer son bouclier qu'il encaisse les dégâts avec son bras Si Euh... : Faust se retrouve avec ses bras entaillés. Paralysé par la blessure, il ne peut plus jeter de sorts. Ne pas prendre en compte le Dé Action 2
Dé Action 2 : Piège de glace Si Parfait : Le pantin est totalement gelé. Il faut un post entier pour dégeler. Si Bien : Les jambes du pantin sont gelés. Il ne peut attaquer sur place pour un tour Si Raté : Un coup de froid, sans plus Si Euh... : A court de mana. Faust va devoir récupérer sa magie avant de lancer un sort.
Le fait d'avoir enfin percuté le ninja à force de porter des coups a enfin calmé celui-ci en plus de finir en cendre par les explosions, l'épéiste quand à lui avait fini en charpie et un météore bien placé avait fini le boulot. Vu qu'il n'y avait plus personne à taper et que je m'étais bien défoulé, je relâchais un peu ma colère, laissant Faust me soigner au lieu de faire une autre connerie. Celui-ci posa ses mains à l'endroit où s'était plantée la dague que je viens tout juste de me sortir du torse dans un grognement de douleur. Le soucis, maintenant, C'était que l'endroit était en train de s'effondrer. Je ne perçu pas la lumière du jour mais je ne pensais pas non plus que je pourrais contacter Delta ni avoir le temps d'invoquer un véhicule sans finir en deux dimensions.
Entre-temps, nouvelle annonce, ou plutôt deux annonces, le pantin venait d'apparaître dans la salle, mais fut temporairement rendu à peu près inapte à bouger à nouveau grâce à Faust, qui se senti par la suite complètement lessivé. Je voyais Nikolion en train de péter la vitre en scenarium avec une efficacité déconcertante. Moi, j'étais un peu plus calme, mais fallait quand même pas me faire chier, je vais aider tout le monde en même temps !
Profitant du vent glacial que Faust à mis sur les jambes du pantin, je put aisément le contourner, faisant signe à Faust de déguerpir en vitesse, en même temps que je hurlais la même chose à Niko, avant de m'adresser au pantin.
- Bon alors, t'as du mal à bouger ? Attends, je vais t'aider à traverser les pièces, connard !
Utilisant pour la première fois depuis pas mal de temps cette magie dont l'effet est souvent caractérisé par sa couleur, Il ne serai pas surprenant que vous associez le rouge sang à une amélioration de la force pure. Je pris juste la peine de diriger cette force dans ma jambe avant de littéralement tirer vers les buts, c'est à dire la vitre.
C'était sans compter que je tirai pas bien et que notre pantin alla dans la mauvaise direction, Merci le D10. Je du alors aider Nikolai à péter la vitre à coup de sabre laser, m'excusant d'abord devant Faust de ne pas avoir été très efficace.
Bien que la salle fut prise d'assaut par la Grande Oracle et que les aventuriers piégés avaient essayés de mener un combat contre ses fidèles, l'épreuve n'était pas terminée. Il leur restait un segment, une preuve à donner pour mériter leur liberté. Le pantin à l'expression clownesque qui se tenait face à eux ne souhaitait qu'une seule et unique chose : les faire souffrir, comme il avait essayé de le faire aux côtés de l'Oracle pendant toute cette session machiavélique. Alors que Faust avait réussi à couvrir ses alliés, il était maintenant à court de mana, et la grande baie vitrée derrière comportait plusieurs impacts. Rosstail venait d'envoyer valser le Pantin, dont les fils qui partaient jusque vers les ténèbres du plafond tournoyèrent, s’emmêlèrent, avant finalement de lui faire retrouver une position stable. Le mannequin ricana, tandis que des engrenages se mirent en place, libérant des trappes encastrées dans les murs. Une espèce de sulfateuse en sortie, 3 à vraie dire, qui firent pleins feux à tout va, à la fois sur Faust, Nikolaï et Rosstail. La poupée, elle, continuait de ricaner, et se déplaçait à l'aide de ses fils pour narguer tous ces abrutis qui essayaient de l'arrêter. Le temps continuer de défiler, et bientôt, soit ils seraient tous écrasés par le bâtiment qui menaçait de s'effronder, soit trouer de part en part en raison de ces mitraillettes qui venaient d'apparaître. Dernière option, celle de se débarrasser du pantin, chose qui n'allait sans doute pas être facile. Enfin, d'autres fils se mirent en place et s'enroulèrent autour du malheureux Rosstail qui avait tenté de frapper la poupée. Ils lui serrèrent solidement les membres, le soulevant du sol, et commençant à faire tourner chacun d'entre eux dans des positions différentes pour le faire souffrir au possible, tout en ignorant que Rosstail avait une certaine..."résistance physique". La poupée se plaça au dessus de lui, hurlant de rire, tout en continuant d'activer psychiquement les différents mécanismes.
Faust laissait le duo s'occuper de la vitre. Alors qu'il pointa sa paume en direction du pantin pour essayer de le geler, rien ne se passa. Il eut beau agiter son bras. Plus rien. Avec un léger mal de tête, le bouc, se rendit compte qu'il avait trop utilisé sa magie. Sans doute à cause du sort pour se transformer en statue qui lui coûtait beaucoup en ressources. Néanmoins, le pantin vola dans les airs avec le tir de Rosstail, tel un ballon de football. Le cornérien se baissa, par peur de se prendre le projectile dans la face. En guise de vengeance, le pantin dégaina ses sulfateuses avant de tirer à tout va. Par réflexe, Faust croisa ses bras pour tenter de déployer son bouclier. Seulement, le bouc avait oublié qu'il était à court d'énergie que les balles percèrent ses bras et son torse.
A contrario de ses alliés qui pourraient résister physiquement aux attaques de la sulfateuse et du pantin grâce à leurs métabolismes, Faust était sensible aux balles qu'il se mit à genoux. Le temps était compté pour le cornérien avant de s'écrouler par perte de sang, sauf si il avait suffisamment récupéré sa magie. Sans hésiter, l'anthropomorphe sortit un sifflet et souffla faiblement, avant de cracher un caillot sanguin. Faust ne croyait pas que les Maskass allaient lui entendre. Cependant, il eut tort.
La salle se mit à trembler. Puis, une foreuse jaillit sous les pieds du pantin que ce dernier se retrouva écrasé au plafond. La foreuse avait quelque chose en particulier. En effet, celle-ci était un amas des soldats de Pignouf qui s'était amusé à former un outil pour creuser la terre. Deux d'entre eux s'approchèrent du cornérien.
-Encore besoin de nos services ? ♥
Faust était épuisé mentalement pour communiquer par télépathie. Il pointa du doigt le premier Maskass puis en direction de la vitre. Quand il s'adressa au second Maskass, il pointa le trou avant de former un arc de cercle vers le bas. Cependant, le message semblait plus dure à faire passer sans parole. Il fallut plusieurs temps et quelques gestes variés pour lui faire comprendre que l'autre soldat avait pour mission de creuser un tunnel.
-Roger !
La troupe se sépara en deux. Le premier groupe forma une foreuse plus petite. Ensuite, le tas se mit en l'air pour avoir le temps de tourner assez vite pour creuser. Quant au second groupe, il forma un boulet de démolition près de la vitre. Un des soldats de Pignouf chevaucha celle-ci. Il en profita d'ailleurs pour mettre une perruque courte blonde platine et de chanter à tue-tête la chanson du boulet. Seulement, les Maskass avaient une voix nasillarde que cela fit sourire le bouc jusqu'à ce qu'il ne puisse plus tenir debout. Une de ses créatures complètement isolée car il savait pas quoi faire entre les deux tira à plusieurs reprises la veste du cornérien qui tentait avec son mal de se redresser.
Dé Action : Tunnel Si Parfait : Le tunnel est achevé avec un chemin bien dégagé et tapis rouge ! Ils les mènent directement dehors Si Bien : Tunnel opérationnel pour mener de l'autre côté de la vitre. Si Raté : Le sol se fissure. Mais, faut encore creuser Si Euh... : Everybody do the flop ! Les Maskass se vautrent par terre
Dé Action : I came in like a wrecking ball ! ♪ Si Parfait : Dégâts multipliés par 2 Si Bien : Dégâts normaux Si Raté : Dégâts divisés par 2 Si Euh... : Les Maskass se retrouvent aplatis contre la vitre. Pas de dégâts
Bon, le penalty n’a peut-être pas fonctionné, mais au moins j’ai une idée pour le battre, histoire de récupérer les points d’expérience avant de me barrer d’ici. Étant donné que ce n’est qu’une marionnette, je pense que couper les fils qui le maintient au plafond peut suffisamment le pénaliser histoire de le finir vite fait bien fait avant de finir écrasé, Bien que je pense qu’il est plus simple de le laisser se faire réduire en deux dimensions.
J’allais bondir sur lui afin d’atteindre ses câbles, mais c’était sans compter sur le déploiement de trois Minigun dont l’un d’eux était pointé vers moi avec ses nombreux canons qui se mirent à… . Tourner ?
Nonononononononononon !
Je ne sais pas ce que firent les autres qui juste avant tentaient de briser la vitre ou creuser un tunnel pour la grande évasion. - l’appel des maskass qui me traumatise encore aujourd'hui - , mais mon premier réflexe fut de tourner le dos à l’arme qui allait me tirer dessus avant de m’accroupir dans une position accroupie de sécurité, comptant sur mon bouclier dans le dos pour parer à l’avalanche de plomb qui allait me rentrer dedans. Étant donné qu’il est fait d’acier, je n’avais peur uniquement par rapport au fait de devoir réparer et repeindre mon écu après le choc [DÉ 1]. Le résultat fut juste parfait,le bouclier, en plus de completement repousser la totalité des tirs, ne subit aucune fissure. Ça c'est passer bouclier en papieeeeeeeer ! En tout cas, je hurlais de victoire pour cette parade parfaite.
- I AM BULLETPROOOOOOOOF !!!
Une fois cette salve passée, mon angle de vue ne me permettait pas de regarder derrière moi pour voir que le pantin m’avait prit pour cible afin de me saucissoner, m'empêchant donc de bouger avec une force et un serrage bien supérieure à celle nécessaire. Étant hors d’état de combattre, Il fallait que je trouve le moyen de m’en échapper, Faust étant complètement crevé et je n’ai aucune nouvelle du doc.
Ouais, plus possible de bouger le moindre bras ou la moindre jambe, Et non, je ne peux pas étirer ma tête comme l’Ingeneer. Par contre, j’étais bien plus proche des câbles du Pinocchio malfaisant, Ce qui, Dans un autre contexte Me serait utile. J’ai encore un atout dans ma manche, mais autant le garder pour plus tard, objectif immédiat : tenter de me libérer avec ma seule force physique. [Dé2]
Et ce fut là aussi un bon effort de ma part ! Forçant et bougeant mon bras dans tous les sens, je put me libérer ce membre de ce blocage. C'était suffisant pour ce que je voulais faire. Le temps de saisir ma hache et le tour est joué...
Un être organique aurait sans doute pester devant tant de résistance de la part de Rosstail. Ce dernier, vraiment mal en point il faut le dire, prenez son temps pour redorer son bouclier et débloquer ses membres. Tant mieux, parce que les sulfateuses situées de part et d'autres de la pièce étaient justement en train de recharger. Quant à ces minables petits êtres masqués que venaient d'appeler Faust, il s'en était servi pour creuser un trou jusqu'à la vitre et la fragiliser un peu plus à l'aide d'un boulet démolisseur...mais façon Maskass. La vitre fut ainsi touchée mais légèrement. Profitant de ce court instant de répit, la Marionnette s'échappa quelques instants dans les airs, disparaissant à la vue de tous, avant de revenir dans la salle, juchée sur un espèce de tricycle géant. L'aspect bon enfant supposé par l'arrivée des Maskass allait rapidement se ternir en quelque chose de beaucoup plus sombre qui était sans doute là, l'une des dernières cartes de la Poupée.
Je vais vous donner une dernière chance de tester la valeur de vos vies. De votre vie.
Le tricycle fit le tour de la salle, tandis que le sol s'ouvrit en deux de manière conséquente, empêchant quiconque de rejoindre l'autre côté. Sauf qu'une désagréable surprise attendait les aventuriers : en se baladant avec son vélo, le Pantin avait attaché le pied de Koronin, et l'avait forcé à rester avec lui, prisonnier. Le mécanisme qui suivit le mis en suspension au dessus du vide.
Il ne vous reste plus beaucoup de temps, alors voici l'Ultime Sacrifice que je vous présente. Faust et Rosstail...Vos vies contre sa vie. Durant toute sa carrière, votre ami n'a été qu'un raté. Vous le savez comme moi : c'est un égoïste qui n'a que faire des émotions des autres. D'ailleurs, échanger la vie d'un autre contre la sienne ne le gêne pas : il serait prêt à vous écraser pour obtenir ce qu'il souhaite. Vous êtes ses petites choses, ses sujets tests. Vous êtes son poison. Il est le vôtre. Tout ce que vous avez à faire, c'est de me dire de le lâcher dans ce gouffre sans fin, où son corps heurtera les nombreux pics qui se trouvent en contre-bas. Peut être que dans la pénombre et dans la douleur, il comprendra enfin l'essence même de la Vie et ne gâchera plus celle des autres ?
Alors, je m'adresse une dernière fois à vous. Finissons en...
...Et terminez la partie.
Fit la poupée en même temps que les sulfateuses se mirent de nouveau en marche, non pas cette fois pour viser Faust et Rosstail mais bien les Maskass de cette pièce. Jigsaw leur offrait là une rédemption : s'écarter de cet être qui n'a que faire des autres et qui ne sait rien sur la Vie, pour en offrir une aux deux autres. Le temps continuait lui de s'écouler.